Qu’est-ce qu’un répartiteur ?
Le répartiteur est la sorte de baignoire qui sert de zone tampon à l’entrée de la Coulée Continue, lors de la transformation de l’acier liquide en brames. Pouvant contenir jusqu’à 25 tonnes d’acier, il est essentiel pour garantir la continuité de la coulée entre deux poches.
Le métier de répiste ?
L’entretien, le nettoyage et la préparation de ces répartiteurs sont assurés par des opérateurs appelés « répistes ». Responsables des 9 répartiteurs de l’Aciérie, ils vont mettre quelques heures pour assurer la manutention complète de l’outil :
• Le déséquipement du répartiteur ;
• L’étape de « déloupage » et de nettoyage de l’acier ;
• Le refroidissement du répartiteur, à son retour à l’atelier ;
• La préparation et le « gunitage » (=projection d’un béton sur le fond et les parois) ;
• Le séchage de l’ensemble pour figer les éléments ;
• Le rééquipement du répartiteur avant envoi à la Coulée Continue.
Ce qui leur plait dans leur métier ?
« La conscience du travail bien fait et la bonne entente entre nous fait toute la différence dans notre travail quotidien, c’est notre force. »
« On travaille en collaboration pour trouver des solutions car nous sommes conscients de notre rôle primordial dans cette étape de la production. »
🐝 Bzzzz ?! C’est la journée mondiale des abeilles aujourd'hui ! 🐝
🌸 Tout le monde le sait, les abeilles jouent un rôle essentiel de pollinisateur pour la flore.
Mais chez Aperam, elles nous permettent aussi de contrôler notre impact sur la pollution de l’air.
Nos bâtiments font peau neuve !🥳
Merci à Adung & #Graffitilettrage pour leur implication dans ce projet 🙏
🌷🌼 Le soleil est là et la saison des pique-niques est lancée !
🏞️ Qu’il s’agisse d’un camping en famille ou d’une randonnée, l’acier inoxydable est le matériau idéal pour vous accompagner partout. Pratique, léger, facile à nettoyer, extrêmement hygiénique… les équipements en inox sont parfaits pour toutes vos sorties en plein air.
Aperam Châtelet rentre dans la 1ère phase de tests de l’axe 1 du projet #HECO2
🎯 Le but : remplacer partiellement les brûleurs à gaz naturel du four à brames par des résistances électriques chauffantes afin de diminuer notre consommation de combustible fossile et donc nos émissions de CO2.